30/12/2009

Collaboration des OpenSource SIG

La Fondation Open Source Geospatiale (OSGeo) est une organization loi 1901. Son but est d’aider seulement et de promouvoir le développement collaboratif des données et des technologies géospatiales, mais encore fournit des aides de finance et légale indépendante. C’est à dit touts ses membres peuvent distribuer ses codes, ses finances, ses ressources,…OSGeo fournit un forum commun, une infrastructure partagée pour améliorer la collaboration entre projets. Quelques web mappings et Desktop applications dans cette fondation : GeoServer, Mapbuilder, Mapserver, OpenLayers, GrassGis, gvSIG, GeoTools, PostGis… Cette collaboration apporte une grande signification, on peut développer un SIG avec les point forts des systèmes dans cette fondation. Neogeo, Camptocamp, Geosignal… sont des projets qui ont la réunion des autres projets.

Références:
[1] http://www.osgeo.org/

22/12/2009

Les outils de développement

Développement - Commerciaux (19)
I-A. Commerciaux
I-A-1. Articque
I-A-2. AutoCad Map
I-A-3. Benomad
I-A-4. CarbonTool
I-A-5. ESRI
I-A-6. GeoConcept
I-A-7. GeoMap
I-A-8. Géomédia
I-A-9. ILOG JViews Maps
I-A-10. Internet Mapping Framework
I-A-11. Ionic RedSpider
I-A-12. LorikSoftware
I-A-13. Loxane
I-A-14. Map24
I-A-15. MapInfo
I-A-16. MapViewer
I-A-17. Microsoft Virtual Earth
I-A-18. Star-Apic
I-A-19. StoneEarth SIG 3D
Développement - Libres - Webmapping (21)
I-B. Libres, cartographie pour internet (WebMapping)
I-B-1. AlovMap
I-B-2. BeeldBlad
I-B-3. CartoWeb
I-B-4. Deegree IGeoportal
I-B-5. Drupal
I-B-6. Geoar
I-B-7. Geoserver
I-B-8. GoogleMaps
I-B-9. InterMap
I-B-10. LiziMaps
I-B-11. MapBender
I-B-12. MapBuilder
I-B-13. MapGuide
I-B-14. Mapserver
I-B-15. MDWeb
I-B-16. MyMaps
I-B-17. OpenLayer
I-B-18. PMapper
I-B-19. PrimaGIS
I-B-20. SeaGIS
I-B-21. WorldKit
Développement - Libres - Logiciels (20)
I-C. Libres, Logiciels
I-C-1. AccuGlobe
I-C-2. AlterSIG
I-C-3. Diva-GIS
I-C-4. Earth3D
I-C-5. FWTools
I-C-6. GoogleEarth
I-C-7. Grass, WinGrass, JGrass ...
I-C-8. GvSIG
I-C-9. Jump, OpenJump, Skyjump, Deejump ...
I-C-10. Kosmo
I-C-11. LandSerf
I-C-12. Le Petit Poucet
I-C-13. NRDB : Natural Resources Database
I-C-14. OpenModeler
I-C-15. Ossim
I-C-16. QGIS
I-C-17. Saga GIS
I-C-18. UDig
I-C-19. WorldWind
I-C-20. Xrmap
Développement - Libres - Librairies (12)
I-D. Libres, Librairies
I-D-1. Fulcrum
I-D-2. GeoAPI
I-D-3. GeoTools
I-D-4. JTS
I-D-5. Librairie GeoTiff
I-D-6. MapWindow
I-D-7. OGDI
I-D-8. OGR/GDAL
I-D-9. OpenEV
I-D-10. OpenMap
I-D-11. Proj4
I-D-12. SharpMap
Sans développement - Commerciaux (13)
II-A. Commerciaux
II-A-1. CadCorp
II-A-2. CARIS GIS
II-A-3. Bentley Map
II-A-4. Cart@Jour
II-A-5. Editop
II-A-6. Géoclip
II-A-7. ImaGIS
II-A-8. MacMap
II-A-9. Manifold
II-A-10. Migratio
II-A-11. ORLO
II-A-12. Smallworld
II-A-13. Telimago
Sans développement - Libres (5)
II-B. Libres
II-B-1. AutoDEM
II-B-2. MicroImages
II-B-3. Nasa Tools
II-B-4. SavGIS
II-B-5. TopoCad
Base de données (4)
III. Base de données pour SIG
III-A. Access
III-B. MySQL
III-C. Oracle
III-D. PostgreSQL

Detail: http://jsorel.developpez.com/tutoriels/sig/outils/

Geo Lynx 911

Geo Lynx 911 est un logiciel d'interaction entre SIG et GED. Il construit sur ESRI ArcMap et base de .NET. Son but principal est la gestion de téléphone dans la région. Il peut savoir l'orient de déplacement d'une personne qui utilise le téléphone portable sur la carte, ou afficher la position d'une personne qui appelle à la police. De plus, on peut connaitre des informations de la région.

C'est un lien d'introdution de Geo Lynx 911:
http://www.geo-comm.com/geolynxdemo.html

19/12/2009

Client - Service

Dans l’article avant, j’ai expliqué aux services du SIG. Cet article, je vais parler de la relation entre le client et ces services.

Chaque application de client a été crée par l’utilisé des SIG et non-SIG web services.

SimpleService

Coverage Portrayal Service (CPS) rassemble des résultats des Web Coverage Service, puis couverture et ensuite envoie ces résultats à autre Spatial Reference System (SRS). En fin Overlay extrait ces données sont à partir de Web Feature Service (WFS) et couvre des autres données pour afficher une image à des clients.

On donne un exemple quand un utilisateur veut chercher une l’adresse sur la carte. L’application du SIG doit afficher en image de cette adresse. Il faut toucher la limité de cette image. Malgré sa simplicité, cet exemple est assez riche pour explorer des au service du SIG.

Les types de service sont nécessaires dans cet exemple :

- Un service corresponds à l’adresse (address matching service)
On suppose que dans tout système de référence de spatiale, le service utilisait des adresses que les clients disposent. Ce service retourne des informations complémentaires telles que l’adresse normalisée, la précision de localisation. Ce service filtre des coordonnées qui correspondent à une demande de client. Dans de tel cas, ce service retourne plusieurs réponses.

- Un service corresponds à un site (Web Mapping service)
Retourner une carte correspondant à la pré-spécifié géographiques et la dimension de pixel d’un espace.

- Un service re-projection (re-projection service)
Transformer une image raster d’un système de référence spatiale à l’autre. Ce service est nécessaire parce que la projection native d’un ensemble de données peut être différente de celle demandée par le client. Une noté ici sur le fait qu’il n’y a pas de re-projection de l’interface de service standard. Nous supposons qu’il se composera d’au moins les paramètres suivants.

ilustreserviceuser

Quelques modèles de coordonnée entre un client et service :

clientcordinaire
Coordonner client – service

clientservice
Client connecte des services d’agrégats

workflowmanageservice
Client avec un Workflow qui manage des services de médiation.

Référence:
[1] Service Chaining of Interoperable Geographic Information Web Services (Nadine Alameh)

18/12/2009

Googe Map API et Google Fusion News

Google Map a fourni des API pour les développeurs qui peuvent exécuter des oppérations (upload donnée, query, chercher, afficher) sur ses données stocké dans Google My Map.

Détail ici:
http://googlegeodevelopers.blogspot.com/2009/12/maps-data-api-bringing-geospatial.html
http://code.google.com/apis/maps/documentation/mapsdata/developers_guide_protocol.html#Search

Réf:
[1] http://www.techcrunch.com/2009/12/15/google-maps-spatial-search/
[2] http://www.spatiallyadjusted.com/2009/12/16/the-google-maps-data-api-and-google-fusion-api-news/

Ps: Merci Monsieur Brice de votre lien que vous m'envoyez!

16/12/2009

Lien blog de SIG

  1. O’Reilly Radar Geo Blog 2,733 – overall O’Reilly (5 Blog reactions for Geo Blog)
  2. Strange Maps 1,895
  3. Google Earth Blog 950
  4. Google Maps Mania 553
  5. Ogle Earth 186
  6. All Points Blog (Directions Magazine) 176
  7. James Fee GIS Blog — Blogging GIS, Google Earth, Virtual Earth and Programming 156
  8. The Map Room: A weblog about maps 139
  9. The Beer Mapping Project 91
  10. Geobloggers 73
  11. Mapperz 72
  12. Very Spatial (Blog and Podcast) 66
  13. Bret Taylor’s Blog 64 (estimate based on 195 Blog Reactions)
  14. Mibazaar 61
  15. Dave Bouwman - GIS Blogs: Where’s the Conversation? 53
  16. Ed Parsons 52
  17. What is so special about Geospatial? 52
  18. Chris Spagnulo’s Geoscrum 51
  19. AnyGeo - Anything Geospatial 46
  20. Mandown 35
  21. The Earth Is Square 35
  22. Mapdango 34
  23. GIS Lounge 31
  24. Mapping Hacks 28
  25. Geography Matters – Est. 27 (based on 83 blog reactions)
  26. Geospatial Semantic Web 26
  27. Vector One 26
  28. Computing, GIS and Archeology in the UK 23
  29. GeoNames Blog 18
  30. GeoMusings 14
  31. Slashgeo 14
  32. Geocarta 12
  33. Webmapper 10
  34. Sean Gillies 10
  35. Indiemaps 8
  36. Cartogrammer 7
  37. Geography 2.0 2

Référence
[1] http://blog.khanhlnq.com/2008/09/25-blog-hay-nht-v-bn-gis-v-geoweb.html

Web Services Overview

TerraServer supports a Tiling Web Service that enables our users to build applications on their computer systems that integrate with USGS imagery found on our web site. If you are unfamiliar with Web Services, you can download our Web Service white paper and learn about the TerraServer web service.

Start with TerraService Documentation to learn how to program using the TerraService web service.

The Sample Map Server is an application based on the Microsoft TerraService .NET Web Service. Use it as example of what you can do using the TerraService tiling methods.

TerraServer supports OpenGIS Web Map standards. Visit the OpenGIS Map Server based on Version 1.1.1 of the OGC Web Map Server specification.

Our OpenGIS Web Map Server now supports dynamic reprojection of USGS DOQ and DRG data from UTM NAD83 to Geographic projection (EPSG:4326)! New styles have been added to draw gridlines in a number of different colors. Click here to view a web map that contains DOQ imagery from two UTM zones reprojected to Geographic. The image displays the UTM coordinates in Cyan. The location is New Orleans, Louisiana.

Visit OpenGIS Capabilities to retrieve the OpenGIS Web Map Server's GetCapabilities XML document.

Access the TerraService WSDL file. If you have Visual Studio.NET, you can reference this file using the Web References item found on the Project menu.

Access the LandmarkService WSDL file. The LandmarkService contains methods to access the geo-location (longitude and latitude) of well known places such as schools, golf courses, hospitals, etc. You can use LandmarkService methods and TerraService methods together to build layered maps.

This web site and services are running the released versions of VS.NET 2003 and .NET Framework 1.1. The About .NET web site contains more information about .NET technologies.

Reference: http://terraserver-usa.com/webservices.aspx


15/12/2009

ESRI et Openlayer

La couche service du SIG

Dans le rapport d’analyse de ce sujet, j’ai abordé à l’architecture du SIG. Dans cet article, je vais parler détail de la 2ème couche. La couche service (ou couche entreprise) regroupe des objets transversaux à toutes les applications. De plus, cette couche propose des services d’accès à ces objets au travers de méthodes de création, recherche, modification, suppression. Ces méthodes contiennent les règles de gestion associées aux différentes opérations.

+ Tout d’abord, je pose quelques définitions des mots professionnels :

AJAX Asynchronous Javascript And XML
Méthode de développement d’applications Web uti-lisant des technologies existantes (Javascript, XML, XHTML et CSS) pour fluidifier les transferts d’in- formations client-serveur.

API Application Programming Interface
Une interface de programmation définit la manière dont un composant informatique peut communiquer avec un autre.

CGI Common gateway interface
Technologie des serveurs HTTP qui, au lieu de ren-voyer le contenu d’un fichier (image ou HTML), exécute un programme puis retourne le contenu généré.

SVG Scalable Vector Graphics
Format de fichier image vectoriel, basé sur XML, et standardisé par le W3C (World Wide Web Consortium)

WFS Web Feature Service
Interface web autorisant des manipulations sur des objets géographiques. Les données sont transmises au format GML (standard XML).

WMS Web Map Service
Un Web Map Service (WMS) est une interface web qui produit dynamiquement des cartes à partir de diverses sources de données.

+ Exemple d’architecture du SIG avec technologie Java :

architecturejava

L’applet est une application programmée en JAVA insérée dans un document Web. Elle doit être téléchargée à chaque fois que l’internaute consulte un document Web. Cependant, un interpréteur doit être préalablement installé (Machine Virtuelle JAVA). Les données pour être visualisées, sont aussi stockées dans le cache du client, ainsi la qualité et la rapidité se rapprochent des solutions vecteurs.

+ Des fonctions du système SIG ordinaire

On a permis de constituer la liste suivante, hiérarchisée ici en fonction de la richesse fonctionnelle :

Pour apprendre détail de la couche service, d’abord on peut réfléchir l’ordre des requêtes au serveur du SIG.

1. Requête au serveur Web par le biais d’une URL contenant l’adresse du programme MapServer avec des paramètres adéquats.
2. Le serveur transmet à MapServer les paramètres de la requête,
3. MapServer décode les paramètres et va rechercher les informations situées dans le fichier projet “map- file". Celles-ci sont éventuellement modifiées en fonction des paramètres passés lors de la requête.
4. MapServer va rechercher les éléments cartographiques à afficher.
5. MapServer recherche les éléments non-géographiques associés (ex. : récupérer les données correspondant aux requêtes).
6. MapServer lit le modèle de page HTML à générer (TEMPLATE) et valorise les paramètres banalisés.
7. MapServer compose les images bitmap à partir des différentes sources de données et des paramètres. Les images annexes (échelles, références, couches visibles) sont aussi composées.
8. MapServer compose la page HTML de sortie.
9. MapServer envoie la page au serveur Web.
10. Le serveur web renvoie enfin la page au client.

+ Détail d’architecture de service

architectservice

GIS Services Web sont classés en deux catégories: les données des services SIG et traitement des géodonnées et des services fonctionnels. Puisque les données SIG sont composés de l’espace et caractéristiques non spatiales, les données des fournisseurs de services peuvent offrir un ou les deux types de données aux demandeurs de services. Ces services peuvent être classées plus loin ou organisées par vecteur ou raster, ou par thème, par région ou organisation. De cette façon, l’application développeurs, de demandeurs de service, peuvent effectuer des recherches pour leur ensemble de données spécifiques pour construire leur applications. Une telle architecture de système donnera plus de chances pour les développeurs de données à pénétrer le marché et augmenteront la précision des données et la simultanéité.

Service Web de traitement des données SIG et la modélisation seront un domaine prometteur pour développement dans un avenir proche. Spatiale et des données non spatiales peuvent être traitées séparément par des développeurs tiers, même sans aucune relation avec les SIG. Comme l’entrée et la sortie vers et de services Web peuvent être des ensembles de données elles-mêmes, ces services peuvent être facilement chaîné avec d’autres types de services, tels que la cartographie et l’intégration. L’avenir des SIG Web Services “est très prometteur pour les développeurs de services dédié spatiale et intégrateurs dont l’imagination sera la limite primaire à des applications qui peuvent être
construit".

Références:
[1] MapServer, solution de SIG libre en ligne (Cheikh DIOP, Nawel BOUARD Simeon, STANCIOFF, François VAN DER BIEST)
[2] SIG en ligne : panorama des fonctionnalités et modalités de mise en oeuvre, Rapport du projet de Mastère SILAT (Stéphane AVRIL, Frédéric BRAY, Frédéric DENIS, Leyti NDIAYE, Laurent RABBE,)
[3] http://www.w3.org/Graphics/SVG/
[4] http://en.wikipedia.org/wiki/Common_Gateway_Interface
[5] Client-Server Interaction in GIS Applications Through Web Services (Xuan Shi)

Donnée du SIG (2)

1.4 Stockée les données du SIG.

Après avoir présenté une modélisation conceptuelle de l’information dans les SIG, maintenant nous nous intéressons à l’organisation de bas niveau de cette information. Cela concerne les structures de données informatiques utilisées pour coder l’information présente dans les SIG. Choisir la manière pour stockée des données est très importante en termes de performances d’accès aux données et de taille de stockage des bases.

+ Information graphique et information sémantique

On distingue habituellement deux types d’informations pour les données des SIG: L’aspect sémantique donne une description dans différents champs ou attributes. L’aspect graphique qui est le contour de l’objet localisé géographiquement.

objectDuSIG

1 information élémentaire correspond à un objet ou à 1 champ (d’une table) décrivant cet objet.

+ Organisation des systèmes de fichiers et méthodes d’accès

L’organisation élémentaire d’une base de données, est une collection de fichiers composés d’enregistrement, stockés sur un disque informatique. Des techniques plus sophistiquées de structurations des bases de données, sur les disques, ont été imaginées afin d’accélérer les algorithmes (programmes) de recherche.

- Organisation simple des fichiers et recherches linéaires

C’est la méthode d’organisation la plus élémentaire, il n’y a pas de structuration particulière des informations sur le disque, imposée par le SIG. C’est le système d’exploitation de la machine qui alloue les positions sur le disque pour les fichiers. Le type de recherche qui est utilisé avec ce type de structure est qualifiée de linéaire. En effet les données ne sont pas triées en fonction de l’information, pour rechercher une information il faut donc balayer tous les enregistrements jusqu’à trouver l’information recherchée.

Pour n enregistrements on va en moyenne faire n/2 recherche avant de trouver. (on parle de complexité de l’algorithme) Cette méthode est particulièrement lente pour de grosses bases de données. Elle a l’avantage, comme elle n’est pas structurée de permettre des modifications faciles des enregistrement (suppression, insertion …)

- Organisation séquentiel des fichiers et recherches binaires

Contrairement au cas précédent, les données sont ici organisées dans le fichier, en fonction de la valeur de un ou de plusieurs champs. Une recherche de type binaire peut être appliquée sur ces fichiers. Pour cette recherche on se place au milieu du fichier, on lit dans l’enregistrement le champ qui a servi à organiser le fichier. Si la valeur recherchée est inférieur au champ lu, on recherche alors dans la première moité du fichier, de la même manière, sinon on recherche dans la seconde moitié du fichier.

Pour n enregistrement la compléxité est cette fois de l’ordre de log2(n). Par exemple pour 1000 enregistrements, un traitement linéaire necessite en moyenne 500 accès contre seulement log2(1000) = 10 accès pour une recherche binaire.

Par contre les modifications de la base (insertion, deletions …) sont très couteuse en temps, car la modification de la place d’un enregistrement se répercute sur la place des autres.

- Tables de hachages

Une table de hachage utilise une fonction de hachage. Sur un ou plusieurs champs, la fonction de hachage transformat la valeur en une adresse physique sur le disque. L’adresse peut donc être entièrement calculée et ne nécessite alors seulement un accès disque pour retrouver l’enregistrement. Soit un bloque de 1000 emplacements sur le disque, numéroté de 0 à 999. Soir des enregistrements avec un champ numérique variant de 0 à 1999

Une fonction de hachage très simple: diviser par deux, peut être utilisée.valeur du champ = 400  FonctionHachage(400) = 200  adresse sur le disque

C’est une technique très optimale, mais qui pose des problèmes pour la gestion de bloques disques (recouvrement, taille élémentaire des bloques …), elle ne peut s’appliquer que sur des champs numériques ou pouvant se transformer en valeur numérique.

- Tables d’index notion d’identifiant

Cette technique utilise des tables d’index à la manière de l’index d’un livre.
Le fichier de données lui même n’est pas organisé, mais un second fichier index est créé, qui lui est ordonné et qui contient un des champs des enregistrement, que l’on nome l’indexe, ainsi que l’adresse ou pointeur de l’enregistrement correspondent dans le premier fichier.

datafile

Une recherche binaire peut alors être entreprise, sur le fichier indexe.

Pour de très grosses bases de données le fichier index peut lui aussi devenir très gros et ralentir la recherche. On peut alors créer une table d’index du fichier index. On parle alors d’index multi-niveaux. Le B-tree (balanced tree) est un exemple d’indexe multi-niveaux.

Dans la plupart des SIG un champ particulier, que l’on nome identifiant, sert à construire une table d’index, pour manipuler rapidemment les enregistrements de la base.

- Indexations spatiales notion de localisant

Les méthodes de codage et d’accès précédentes faisaient surtout référence aux données sémantique. Le problème se pose de la même façon pour des accès à la base par l’information spatiale. Pour cela des méthodes d’indexations spatiales ont été imaginées, il s’agit de rapprocher physiquement sur le disque des enregistrement qui sont proche dans l’espace géographique. Par exemple :

espacegeo

Par analogie avec la notion d’identifiant pour les données sémantique, on parle parfois de localisant pour la façon d’accéder à l’information par le spatial.

+ Format de l’information graphique : raster ou vecteur

Le format raster utilise une description matricielle de l’espace géographique. La matrice est une image, chaque élément de l’image ou pixel (picture element) contient un niveau donné qui représente une thématique. Ces images sont généralement issues de scanners ou d’images aériennes ou satellitaires.

vectorraser2

- Format raster

Structure de données informatique des raster
Il existe de nombreuses techniques issues du traitement d’images pourcoder des données sous forme raster.

o Matrice raster
Un raster est par définition une matrice de points (pixels). On défini aussi les voxels par analogie au pixel dans un espace à trois dimensions. Le stockage sous cette forme peut être très coûteux en taille, de nombreuses méthodes de codage permettant une compression des données sont utilisées.

o Chain codes
C’est un codage utilisé pour représenter les contours dans une image, il est basée sur le codage directionnel de Freeman :

freeman

Les directions élémentaires d, codent pour le passage d’un pixel de contour à un autre, un contour est alors entièrement codé par une suite de d.

o Run Length code
Ce type de compression tire partie de la répétitivité de certaine image. En effet une carte raster peut contenir de larges plages de pixels ayant la même valeur. Par exemple une ligne de 20 pixels contigus tous à la valeur 6 pourra être codée :

6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 6 En codage raster classique ou 20 6 en codage run length. On code ici sur 2 octets le nombre de pixels de la plage et la valeur de la plage, soit un taux de compression de 20/2 = 10.

o Block code
Il s’agit d’une généralisation du cas précédent au cas bidimensionel.

o Quadtree
On découpe une image de façon récursive en quadrant jusqu’à obtenir des régions élémentaires homogènes (de même classe).
Pour une image binaire (2 niveaux: et )

- Format vecteur

Dans le cas d’un codage vectoriel l’espace de représentation est suppose continu, contrairement au codage raster où l’espace est quantifié et la précision géométrique est donc limité. En fait la supposition d’un espace continu ne peut être réellement satisfaite sur les systèmes informatiques, car les systèmes numériques supposent un codage avec une précision finie des valeurs numériques. La taille des « mots machines » sur les ordinateurs fixe la précision des valeurs numériques codées selon leur type mathématique (entier, réel …).

o Codage par primitives graphiques
Cas du codage des polygones

Soient deux polygones connexes POLY1 et POLY2, soient pi les points de contour :

vecteur

Deux techniques sont utilisées concernant le codage graphique des polygones :

Codage par cou vertu re d’arcs / codage par cou vertu re de polygones

vecteur

Dans le premier cas chaque polygone contient tous les points de son contour, en concéquence les points communs aux deux polygones connexes sont dupliqués dans P1 et P2.

Dans le second cas les arcs individuels sont codés en tant que tel, on parle de couverture d’arcs, et les polygones ne contiennent que la liste des arcs les constituant.

Structure de données informatique des vecteurs
Les problèmes d’indexation se pose de la même manière que pour les données raster.

1.5 Des formats de donnée SIG

+ Format matriciel (raster)
(Pour comprendre mieux, visiter le site: http://fr.wikipedia.org/wiki/Formats_de_fichier_SIG)

• ADRG (ARC Digitized Raster Graphics) - National Imagery and Mapping Agency -
• BIL - Band Interleaved by Line (utilisé en imagerie satellitaire)
• CADRG (Compressed ARC Digitised Raster Graphics) - National Imagery and Mapping Agency - compression de 55:1 par rapport à ADRG
• CIB (Controlled Image Base) - National Imagery and Mapping Agency - type de Raster Product Format
• Digital raster graphic (DRG) - format des cartes papiers topographiques scannées de l’USGS
• ECW (Enhanced Compressed Wavelet) - ERMapper - Compression par ondelettes, souvent avec perte.
• ESRI grid - fichier binaire ou ASCII utilisé par ESRI
• GeoTIFF - format TIFF enrichie avec des métadonnées relatives au SIG
• IMG - ERDAS IMAGINE[1]
• JPEG2000 - format compressé, permettant une compression avec ou sans perte.
• MrSID (Multi-Resolution Seamless Image Database) - Lizardtech - Compression par ondelettes, souvent avec perte.

+ Formats vecteur

• Coordonnées cartésiennes (XYZ) - simple nuage de point
• Coverage - format propriétaire d’ESRI.
• Drawing eXchange Format (DXF) - AutoCAD
• Geography Markup Language (GML) - dérivé du XML pour encoder, manipuler et échanger des données géographiques. Standard développé par l’Open Geospatial Consortium pour garantir l’interopérabilité des données.
• GeoMedia - Intergraph utilise différentes bases de données pour le stockage de données géographiques vecteur, notamment Microsoft Access.
• GPS eXchange Format (GPX) - format de fichier permettant l’échange de coordonnées GPS
• Keyhole Markup Language (KML) - Google
• MapInfo TAB format - format vecteur de MapInfo utilisant des fichiers TAB, DAT, ID et MAP.
• National Transfer Format (NTF) - National Transfer Format (principalement utilisé par l’Ordnance Survey de Grande-Bretagne)
• Simple Features - Open Geospatial Consortium spécification pour les données vecteur
• Shapefile - Initialement développé par ESRI ce format, devenu un standard de facto, est largement utilisé par un grand nombre de logiciels libres comme propriétaires. Il utilise 3 types de fichiers : SHP, SHX et DBF
• Smart Data Compression (SDC) - format propriétaire d’ESRI
• Spatial Data File - format développé par Autodesk pour MapGuide
• Personal Geodatabase - format propriétaire d’ESRI, stockant des données vecteur dans un fichier Microsoft Access (.mdb).
• File Geodatabase - format ESRI de base de données spatiales stockée comme des répertoires dans un système de fichiers.
• Topologically Integrated Geographic Encoding and Referencing (TIGER) - Bureau du recensement des États-Unis
• Vector Product Format (VPF) - National Imagery and Mapping Agency format de la NIMA pour de grande base de données géographique.
Modèle numérique de terrain [modifier]
• USGS DEM (Digital Elevation Model) - USGS
• DTED (Digital Terrain Elevation Data) - National Imagery and Mapping Agency (NIMA)
• GTOPO30 - USGS - couverture de la terre entière avec une résolution de 30 secondes d’arc (~ 1km)
• SDTS - successeur du format DEM de l’USGS
Autres formats [modifier]
• Binary Terrain - format du Virtual Terrain Project [2]
• Well-known text (WKT) – format ASCII défini par l’Open Geospatial Consortium
• Well-known binary (WKB) - format binaire défini par l’Open Geospatial Consortium
• World file - pour géoréférencer une image matricielle (ex JPEG, BMP)

Références:

[1] Introduction aux SIG - systèmes d’informations géographiques (Institut National Agronomique Paris-Grignon)
[2] http://en.wikipedia.org/wiki/Raster_graphics
[3] http://fr.wikipedia.org/wiki/Formats_de_fichier_SIG
[4] Guide projet SIG (École nationale des sciences géographiques)
[5] http://www.forumsig.org/

Donnée du SIG

Dans le premier article, j’ai présenté des points de vue principaux de SIG, GED et la méthode d’interaction entre deux éléments.

Des articles à venir, je vais présenter détail de :
I. Le SIG

Suite:

1. La donnée : les types de données, la méthode de stockage ces données dans la base de donné, les types fichiers de SIG.

2. Le service : les manières d’obtiens les données et d’envoie à l’utilisateur, d’organisation les services.

3. L’interface : la méthode de requête les données et afficher des résultats

4. Quelques opensources de SIG- geotool, openjump, openlayer : comparer et choisir un système.
II. La GED

1. La méthode d’organisme et de présente des données

2. Quelques opensources de la GED

3. Détail de la GED eXo Platform
III. Interagir le SIG avec la GED

1. Quelques applications existent : Analyse des points forts et des points faibles

2. Analyse les méthodes d’interaction le système opensource de SIG et la GED eXo platform.

D’abord je vais présente la donnée dans du SIG

1. La donnée du SIG
Dans cet article, je vais présente la donnée de SIG. Après cet article, on peut répondre aux questions dessous :
- Quels types de sources de données dans le SIG et quelles méthodes pour créer ces données ?
- Qu’est-ce que la méta-donnée du SIG ?
- Quelles modes de représentation des données géographiques dans un SIG ?
- Comment stocke ces données de SIG ?
- Quelles sont types de fichiers de SIG ?

1.1 Les types de sources de donné du SIG

+ Les types de sources de données

Il y a deux types de sources de données :
- Données primaires : ce sont des données obtenues par topographie, mesures directes sur le terrain ou par télédétection.
- Données dérivées : ce sont des données extraites de cartes, statistiques, enquêtes ou autres recueils de données existants.

Ces données partent des organismes d’états ou des sociétés privées. Ce sont les données de numérique ou les documents papiers. On peut les créer par : scanner la carte, ou photographier par le satellite, etc

ManierCreerDonnee

+ Les types et les formats des images

Les données peuvent les cartes des scannées, des orthophotos, des images satellitales, etc. Avec les formats standards (gif, jpg, tiff, geotiff, etc) ou les formats propriétaires (spot, arc/Info, Erdas, etc).

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Après avoir ces données, on doit les résoudre la compatible avec la base de données.

+ Structure la donnée géographique

sourcedonnee

La base de données géographique est ensemble de couches superposables.

1.2 Les méta-données du SIG

+ Définition

Les Meta-données, ou « données sur les données », décrivent le contenu, la qualité et les caractéristiques d’une couche d’information et donnent des indications sur l’utilité de la couche même.
Les Meta-données permettent de documenter les données du SIG

+ Les éléments principaux des méta-données du SIG:
- Les identifications :
o Le nom de la couche
o Les limites géographiques de la zone couverte
o Le thème
o Les restrictions et limitations d’utilisation des données
- La qualité des données
o La précision géométrique
o La précision des attributs
o Le niveau d’achèvement
- Distribution
o Qui est le propriétaire des données
o Dans quel format et sur quel type d’aider sont disponibles

+ Les sections de la méta-donnée du SIG

Après les standards de l’FGDC spécifient la structure et le contenu de 220 attributs pour décrire les données spatiales numériques. Il y a sept sections de la méta-données du SIG :
- Les informations d’identification
- Les informations sur la qualité des données
- Les informations sur l’organisation des données spatiales
- Les informations sur la géo-référentiation
- Les informations sur les éléments et les attributs contenus dans la couche
- Les informations sur la distribution des données
- Les informations sur les auteurs des méta-données

+ Documentations des données

Documenter les couches de travail, c’est-à-dire indiquer dans chaque couche:
- Le nom de la couche
- Le type (point, ligne, polygone, TIN, grille, image)
- La thématique (altitude, occupation du sol, types des sols, etc.)
- La projection
- La source (la carte ou la couche) de l’information
- Le nom de l’opérateur qui a créé la couche
- Le niveau d’achèvement (estimation en pourcentage sur le total) des objets spatiaux
- Le niveau d’achèvement (estimation en pourcentage sur le total) des attributs
- S’il s’agit d’une image corrigée (géo-référenciée), l’erreur de correction (X erreur et Y erreur)
- S’il s’agit d’une grille, la résolution en mètres
- Une description de la méthode utilisée pour la créer

1.3 Les modes de représentation de la donnée géographique dans un SIG

Il y a deux modes de représentation de la donnée géographique : la mode vecteur et la mode raster.

modepresentedonnee

+ Les données vectorielles :

On utilise les points, les arcs, et les arcs des polygones pour limiter et décrire des objets spatiaux. Chaque objet spatial est doté d’un identifiant qui permet de le relier à une table.

ModeVecteur

- Les points : Ils définissent des localisations d’éléments séparés pour des phénomènes géographiques trop petits pour être représentés par des lignes ou des surfaces qui n’ont pas de surface réelle comme les points côtés.
- Les lignes : Elles représentent les formes des objets géographiques trop étroits pour être décrits par des surfaces (ex : rue ou rivières) ou des objets linéaires qui ont une longueur, mais pas de surface comme les courbes de niveau.
- Les polygones : Ils représentent la forme et la localisation d’objets homogènes comme des pays, des parcelles, des types de sols, etc.

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+ Les données rasters

La réalité est décomposée en une grille régulière et rectangulaire, organisée en lignes et en colonnes, chaque maille de cette grille ayant une intensité de gris ou une couleur. La juxtaposition des points recréés l’apparence visuelle du plan et de chaque information. Une forêt sera “représentée” par un ensemble de points d’intensité identique.

donneeraster

+ L’exemple de la donnée raster

exraster

Dans l’article prochain, je vais continuer répondre 2 questions encores:
- Comment stocke ces données de SIG ?
- Quelles sont types de fichiers de SIG ?

Références :
1. Slide : SYSTEMES D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE - CEMAGREF ENGREF
2. Qu’est-ce un SIG
3. http://gis.washington.edu/~phurvitz/professional/SSI/datatype.html
4. http://www.gisuser.com/content/view/2432/28/
5. http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tadonn%C3%A9e
6. http://www.fgdc.gov/

Anylyse de SIG (le système d'information géographique) et GED (la gestion électronique des documents) (GIS and DMS)

Bonjour à tous,
Voici quelques informations que j’ai commpris de SIG et GED. Si quelqu’un s’intéresse ce projet, nous nous pouvons discuter.

Suite:

1. Contexte

Le système d’information géographique (SIG) est un outil informatique qui permet de gérer et de présenter les données en rapport avec la localisation sur la surface terrestre. Ces données sont aussi dites « spatiales » ou « géoréférencées ». Ils appliquent à exécuter les levés de terrain, la planification urbaine, la commercialisation, et la gestion des ressources environnementales, etc. Le SIG utilise la technologie informatique en raison de la rapidité et de l’efficacité des ordinateurs à analyser et à gérer de grandes quantités de données utilisées par le SIG. Les petits systèmes sont utilisés dans le domaine de la commercialisation, de l’analyse des données géographiques, de l’éducation, etc. Google Maps et Google Earth qui sont les exemples de SIG.

La gestion électronique des documents (GED) est un système informatisé qui permet d’acquérir, de classer, de stocker, de diffuser, etc. Plusieurs personnes peuvent manipuler sur ces documents (lire, mettre à jour, chercher, etc). C’est un processus de finalité qui découle du cycle de vie du document. La GED peut permettre un gain de temps et d’argent énorme pour les entreprises, les organisations. Ces documents sont indexés et numérisés pour comprimer le volume. Google Docs est un exemple de la GED.

Le but de ce projet est intégration de fonctionnalités du SIG dans la GED eXo Platform. C’est-à-dire ce système permet gérer des données spatiales et des informations (des vidéos, des documents, des images, etc) qui concernent à ces données spatiales. Par exemple, quand on choisi la localisation de Hanoi sur la carte, ce système va afficher toutes les informations de Hanoi (stockage dans la GED) comme le nombre d’habitants, sa surface, des vidéos, des images présentent à Hanoi,…

2. Termes techniques principaux

2.1. Le système d’information géographique (SIG)
2.1.1. Les données spatiales

+ Les données spatiales possèdent quatre composantes :
• les données géométriques renvoient à la forme et à la localisation des objets ou phénomènes.
• les données descriptives (qui font partie des données attributaires) renvoient à l’ensemble des attributs descriptifs des objets et phénomènes à l’exception de la forme et de la localisation.
• les données graphiques renvoient aux paramètres d’affichage des objets (type de trait, couleur…).
• les métadonnées associées, c’est-à-dire les données sur les données (d’acquisition, nom du propriétaire, méthodes d’acquisition…).
+ Les objets géographiques peuvent être représentés par:
• le point (x,y) ou ponctuel
• la ligne ((x1,y1), …, (xn, yn)) ou linéaire
• le polygone ou surfacique
• le relief du terrain photographié
• l’objet de 3D

2.1.2. L’architecte totale de SIG

L’architecture de SIG
• Les données spatiales communes : contiennent les données de carte, l’échelle grande ou la qualité haute dépendre des services de l’application.
• Les objets business gestion des données : créer des objets professionnels correspondant à la physique réelle.
• L’héritage de donnée fournit une connexion à des bases de données existantes qui sont gérées par chaque division professionnelle, sans donnée de conversion.

2.2. La gestion électronique des documents (GED)

2.2.1. Les problèmes existantes et les solutions pour gérer des documents dans l’entreprise

+ Problèmes :
• Des documents sont partout et augmentent très vite avec le temps.
• Il y a beaucoup de types de donnée, à partir de plusieurs ressources : .xls, .pdf, etc
• Perme du temps et l’espace
• Processus en manuel très sérieux

+ La solution :
• L’archivage des documents numériques
• Donner à des employées des documents qu’elles veulent.
• Chercher détail
• Identifier la version et l’indexation

2.2.2. GED eXo Platform

eXo platform est un système de source ouvert en Java. Il intègre plusieurs porlets afin de fonder l’environnement de travail collaboratif entre les employés dans une entreprise. Ce système utilise le standard JCR (Java Content Repository) 170 pour stocker des documents (.pdf, .jpg, etc) dans la base de données (PostSQL, SQL, etc). Ces documents ne pas stocker dans le système fichiers afin de gérer facilement sa sécurité et en sa panne.

2.3. Intégration SIG et GED eXo Platform
+ Le but :
Tirer et afficher les documents (les coordonnées, les images, etc) concerne à une localisation sur la carte.

L’exemple :
Quand l’utilisateur choisi un appartement sur la carte, toutes les informations concerne à cet appartement qui est stocké dans la GED, comme sa coordonnée, sa surface, son architecture, ses images, etc, vont afficher sur la carte. Cet utilisateur peut connaitre mieux de cet appartement.

+ Le diagramme de séquence de ce système

+ Application
Son usage est de plus en plus répandu dans le tourisme, l’architecture, le planning, etc.